✖ Ton Physique

.

Comme presque tout les habitants de la nation du feu. Je suis née avec presque toute les caractéristiques que les habitants de la nation ont en commun. J'ai les cheveux brun et les yeux marron. Mes cheveux sont cours avec quelques mèches sur le dessus et derrière. Je suis assez mince et flexible, une flexibilité qui m'aide beaucoup lors d'un combat. Quand j'habitait dans la nation du feu, je portais souvent les vêtements traditionnel lorsque je faisais des sortit et pendant les combats. À mon arrivé à Republic City, voyant que les vêtements étaient libre et varié, je me suis mise à changer mon style vestimentaire, à mettre des bottines et des vêtements confortable comme des chemises, des chandails et un pantalon noir que je mettais à l'intérieur de mes bottes. En ville, j'en ait profiter aussi pour m'acheter un nouvel étui pour mon sabre, que je porte souvent avec moi au cas ou quelque chose arriverait, on ne sait jamais à quoi s'attendre.....dans cette ville

✖ Ton Caractère

.

J'ai un caractère qu'on pourrait dire spécial. C'est surtout mon père qui m'a influencé lors de mon apprentissage. Il m'a dit qu'on bon maître du feu reste toujours calme. Être en colère et agressif, c'est de contrôler la forme perverti du feu. Même si on est plus puissant lorsqu'on est en colère, on peut souvent perdre contrôle lorsque la personne n'est pas concentré. Je reste toujours calme lors de mes combats, même si je fini presque toujours à les perdre par des adversaires agressifs. Je reste concentrée dans ce que je fais et jusqu'au bout. Quand les moments deviennent plus difficile ou lorsque la tristesse m'envahi. Je m'enfui à quelque part de loin et isolé dans une montagne ou une forêt. Je me pose contre un arbre et je me met à réfléchir pendant plusieurs minutes, voir des heures. À part ça, j'ai toujours eu beaucoup de mal à parler avec des gens, surtout les autres garçons. Je me met parfois à rougir sans aucune raison et j'ai beaucoup de difficulté à regarder la personne dans les yeux. C'est peut-être à cause du fait que je n'étais pas vraiment en contact avec les autres quand j'étais plus jeune.

✖ Ton Histoire

.

Vous voulez savoir mon histoire ? Eh bien, la voici. Le tout avait commencé bien entendu avec ma naissance dans le territoire de la Nation du feu et plus précisément dans la Captitale. Ma famille faisait partie de la classe noble. Ma mère dirigeait sa propre boutique et mon père était professeur, enseignant la maîtrise du feu pour les débutants dans une petite école qu'il avait bâti lui même avec ses amis. Dès mon plus jeune âge, vers 5 ans environ, un caractère se développait déjà en moi. Je ne parlais pas beaucoup, le simple fait de parler me rendait extrêmement timide. À cause de ça, j'évitais du mieux que je pouvais les contacts avec les autres. Quand j'osais prendre la parole, c'était seulement devant ma mère, avec qui je me sentais à l'aise, contrairement à mon père. Ce n'était pas parce qu'il était méchant mais on était habitué à se parler en faisant des petits gestes ou des regards pendant qu'il m'entraînait. Même s'il était professeur, il passait la soirée avec moi pour m'entraîner ou bien prendre le thé dans un salon de thé du coin. Sans avoir la certitude que je maîtrisais le feu, il prenait le temps de me faire comprendre qu'est ce que c'était. Je trouvais ça inutile à la fin parce que je n'avais jamais créer une seule flammèche. Mon père me demanda de rester patiente et que j'y arriverais un jour.

Des jours avaient passés, des semaines.....des mois. Rien du tout, mon père commençait à ne plus s'intéresser à moi, on passait beaucoup moins de temps ensemble. Il ne voyait plus la guerrière du feu qu'il aurait espérer avoir, alors il me laissait de côté. Pour tenter de lui prouver le contraire, je sortait seule en plein milieu de la nuit pour tenter de créer une flamme mais sans succès. J'ai décidé de laisser faire et de passer à autre chose.

Mes parents avaient leurs amis, j'ai pu me tisser des liens avec quelques uns de leurs enfants. L'une s'appellait Maneki, un autre Kiyo et la dernière Aléa. Quand mes parents allaient au jardin du coin et prenaient un peu de leurs temps pour parler avec leur amis, moi je m'échappais de leur blabla et j'allais rejoindre les miens. Moi j'étais la plus calme et je prenais la majorité de mon temps avec Maneki autour d'un petite fontaine à nourrir les canards-tortues. Sinon on faisait une partie de cachette en groupe avec Kiyo et Aléa. Par contre, ces bon moments n'avaient vraiment pas durer longtemps, j'ai bien dut me rendre à l'évidence que mes amis seront à l'école très bientôt, parce qu'il avaient tout les trois réussit à créer leur première flamme. Voyant que je prenais énormément de retard, mes parents étaient inquiets que je ne serai jamais comme eux. J'étais déçue de moi-même, j'avais rapidement perdu confiance en moi. J'avais plus personne avec qui être au jardin, j'me sentais vide, seule. J'passais des jours enfermée dans ma chambre, sans dire un mot à mes parents. Je me mettais en boule sur mon lit et je pleurais en silence, isolée de tout. Environ deux semaines ont passé, j'étais soudainement devenue aggresive. Une fois....cette fameuse fois....mon père me demanda de sortir de ma chambre. Puisqu'il déteste que je le désobéis, il ouvrit quand même la porte et me tira violemment par le bras. Voulant rapidement me défendre en le frappant de mon point, une grosse flamme en sortit. Mon père avait pris le temps de l'esquiver et me lâcha soudainement. Complètement heureux, il couru aller donner la nouvelle à ma mère.

J'pensais que c'était une bonne chose mais les ça devenait compliqué parce que mon entraînement intensif commença aussitôt. J'ai pu rejoindre mes amis à l'école et je devais passer du temps supplémentaire avec les professeurs et mon père pour rattraper les notions que j'avais perdu. Ce n'était pas très agréable mais mon père me disait que c'était pour mon bien, je lui faisais confiance.

Des années ont passé, j'était tout à fait une fille qui se développait comme tout les autres enfants de mon âge. Ma maîtrise du feu allait bien mais j'ai toujours gardé mon caractère timide, ce qui influençait grandement mes performances. J'ai pu voir ça quand mon père me proposa de faire des prouesses de feu devant le seigneur du feu et sa famille avec deux autres élèves. J'ai longtemps hésiter mais j'ai fini par accepter...tout simplement pour faire plaisir à mon père. Ce fut la première que je me suis sentit si importante dans un évènement, ça ne voulait pas dire que c'était une bonne chose. Une petite erreur et ça aurait tourné en catastrophe et en gros la pire journée de ma vie, alors j'ai pris mon courage à deux mains et je me suis pratiquée tout les soirs, jusqu'au grand jour. Ce fut dans l'arène du palais royale, il y avait environ une centaine de spectateurs, le seigneur du feu Zuko était assis sur son trône avec sa femme et sa fille. Quand ce fut à mon tour, je devais exécuter mon solo parfaitement, mon feu ne devait pas générer une trop faible ni une trop forte intensité. Une petite erreur fut commisse mais ne n'était pas la fin du monde. Tout le monde avait applaudit et le seigneur du feu fit un discours dans lequel il fut impressionner par ce que la jeunesse pouvait accomplir jusqu'à ce jour. Je n'ai considéré ça comme la meilleure journée de ma vie, j'ai tout simplement évité le pire.

Des mois ont passé, je venais d'atteindre mes 10 ans, ce fut déjà gros pour moi, mon corps commençait à prendre de la forme. Je commençais à devenir une grande fille. Par contre, ce fut l'une de mes pires moments de toutes ma vie. Mon père à dût suspendre mon entraînement parce qu'il était tombé gravement malade. Au début je pensais que ce n'était qu'une vilaine grippe que tout le monde avait habituellement mais....non. Il mourût quelques jours après. Je fut totalement dévastée par cette nouvelle. Moi qui pensait que la vie était simple, je n'aurais jamais pensé que cela arriverait à moi. Ma mère n'avait plus le même air depuis, je ne la reconnaissait plus. Des mois ont passé et nos ressources s'appauvrissaient de plus en plus, alors ma mère me demanda d'urgence si je voulais aller habité chez un de mes cousins sur l'île de Braise le temps de finir mon entraînement. Tandis qu'elle ira s'installer à Republic City pour tenter de bâtir un nouveau commerce et se faire de l'argent. J'irai la rejoindre peu de temps après. J'ai fini par accepter par naïveté. Nous avions quitté la Capitale quelques semaines après par bâteau et ma mère me laissa sur l'ïle de Braise très tard le soir. Nous avions fait nos derniers au revoir, j'ai pleuré un peu mais c'était vite passé.

Je n'avais jamais connu cette branche de famille auparavant, tout ce monde était nouveau pour moi. La première personne à m’accueillir était ma cousine, environ du même âge que moi. Elle avait l'air énervé et pressé...elle n'avait pas vraiment l'air accueillante et ne s'était pas proposée de m'aider à transporter mes bagages qui étaient super lourd...mais bon j'me suis débrouillée. Nous étions arrivée chez lui et ma cousine s'en alla sans rien me dire. Je trouvais ça vraiment bizarre. J'ai attendu un peu mais j'ai pu constater à la fin que tout le monde dormait. Alors j'ai posé mes bagages près du canapé dans le salon et j'me suis couchée là pour y passer la nuit. Le lendemain matin, dès que je me suis réveillé, j'ai vu tout le monde à table en train de déjeuné. Ils étaient 7. J'ai profité du moment pour me lever et aller me présenter mais les autres avaient l'air trop occupé dans leur conversation bidon alors j'me suis adressée à un homme plutôt grand que je pouvais déduire comme étant mon cousin. J'ai touché son épaule du petit doigt et j'ai profité du temps qu'il s'est tourné vers moi pour me présenter et pointer mes bagages qui traînait dans le salon. Il ne disait rien et il se leva en me faisant signe de le suivre. Nous avions monté à l'étage et il a présenter ma chambre, j'suis entrer pour regarder autour et en me retournant j'ai vu qu'il était déjà partit. J'ai soupiré...

Des jours ont passé, je ne parlais à personne et aucun d'entre eux ne venait venait me parler. Je me suis vite sentie isolée du groupe. Pour tenter d'y remédier, j'ai demandé à ma cousine si elle voulait m'accompagner pour m'entraîner puisque je ne connaissais pas le coin. Elle refusa en me disant que c'était à mon cousin de demander ça. Alors j'ai été le voir pour lui demander la même chose. Il me disait que ce sera le lendemain. Ayant repris un peu le sourire, je me suis préparée le lendemain pour y aller avec lui, mais à la dernière minute qu'il était fatigué. J'étais déçu mais je l'ai pardonné. Je lui redemandais la même chose de jours en jours mais il semblait me mentir en pleine face en inventant toutes sortes d'excuses. Un mois avait passé et je ne me suis jamais entraîner depuis que j'étais arrivée sur l'île. Un matin, je le voyais partir en entraînement avec ma cousine, j'ai saisit ma chance et je lui ait demandé, mais il refusa encore. Ma cousine était du même âge que moi, alors pourquoi pas moi aussi ? J'avais tellement envie de rager....sans y penser vraiment je me suis mise en position d'attaque et j'ai lancé un jet de flamme à ma cousine pendant qu'elle n'était pas sur ses gardes. Elle fut durement touché au dos et fut projeté vers le mur avant de tomber au sol. Mon cousin se précipita rapidement vers moi et me neutralisa au sol en un clin d'oeil. J'ai tenté de m'en sortir mais il avait déjà sévèrement bloqué mon chi et avait collé son sabre contre mon cou. Il a rien dit puis il m'a lâché. Il aida ma cousine à se relever et s'en alla avec elle. Me laissant seule et incapable de bouger d'un pouce sur le sol

Vivre sur l'île de Braise a vraiment été un véritable cauchemar pour moi. J'étais très en retard sur mon entraînement et je ne savais pas comment faire pour y remédier. Alors je restais pendant des heures enfermées dans ma chambre pour réfléchir à une solution. Un matin, en me réveillant, j'ai tout de suite aperçu ma cousine accotée sur le cadre de porte les bras croisé. Elle me fixait d'un regard noir et me dit d'un ton sec...

" Si tu oses encore une fois poser la main sur moi ou sur mon frère, je te jure que je te massacrerais, te buterai à t'en faire saigner et même en finir avec ta minable de vie si j'en ait envie. Personne ne t'aime ici ! Alors fait la gentille et ASSUME ! "

Elle partie en claquant la porte. Personnellement j'avais peur mais je ne m'en faisais pas pour autant, parce qu'en cherchant un peu sur l'île j'avais enfin trouvé une solution...un peu risqué mais certe. La même journée j'ai fait mes bagages et je suis partie pendant la nuit. Je me suis rendue en ville pour aller plus précisément vers le dojo. Il y avait un très bon maître du feu qui aurait pus. Son nom était Sun Yang Il fallait payer pour être héberger et les séances d'entraînement mais après lui avoir expliqué mon problème et mon manque d'argent. On a pu conclure qu'il m'hébergerait et me donnerait des cours si je l'aidais dans les tâche ménagères. Ce ne fut pas un problème pour moi, au moins j'ai pu m'en sortir.

J'ai été entraîné par lui pendant 5 ans, au fur et à mesure, nous nous avions vu voir grandir notre relation et il me traitait parfois comme sa fille. Malgré sa vieillesse, son attitude me faisait étrangement penser à mon père. Mon développement afin de devenir maître du feu, si bien qu'à l'anniversaire de mes 16 ans, il me déclara héritière du dojo au grand complet. C'est aussi à ce moment que j'ai su que Sun Yang était un membre de l'ordre du lotus. Par le courage, la force et la détermination que je lui ait montré durant toutes ces années, il pense que je serais une très bonne modèle pour les futurs générations à venir. Puisque Sun Yang était un être sans famille, il m'expliqua que j'pourrai bâtir une famille et les faire grandir dans sa luxueuse demeure. Il me proposa aussi si je voulais devenir l'une des rares fille membre de l'ordre du lotus. Tout ça ? Je n'arrivait pas à y croire...c'était quasiment trop pour moi. Je voulais refuser mais la proposition était plus qu'alléchante...c'était carrément un avenir facile qui était entre mes mains...alors j'ai fini par accepter. J'ai par contre refuser de devenir membre du lotus, j'pense que ce n'était pas mon truc de faire des partis de Pai Cho...même si je n'ai jamais compris plus tard leur vrai signification.

J'ai dût aussi lui expliquer que je devais faire un voyage pour aller rencontrer ma mère à Republic City. Espérant que le voyage ne durera pas longtemps. J'ai fait un dernier au revoir à mon maître et j'ai pris un bâteau vers Republic City, sans vraiment savoir à quoi m'attendre....