La légende de Korra
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 Plus j'y pense, plus je m'y perd. (Feat Kerya)

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Zenko Saama
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MessageSujet: Plus j'y pense, plus je m'y perd. (Feat Kerya)   Plus j'y pense, plus je m'y perd. (Feat Kerya) EmptyLun 25 Juin - 10:37

« Plus j'y pense, plus je m'y perd. »
Kerya - Zenko Saama
Le succès est un menteur. Le menteur aime le succès.

Plus j'y pense, plus je m'y perd. (Feat Kerya) 1321130152
Pour prendre le pouvoir, pas besoin d'arme ou d'être nombreux,
Il suffit juste de faire, se que le camps d'en face
N’ose pas Faire
[Masta Pi]

« Loin de toute ville ou village habitable »


C’était bien rare de voir du mauvais temps en cette saison qui était plutôt d’un froid sec et terriblement ensoleillé. Il s’averrait que les nuages devaient être d’une tristesse commune, les quantités d’eau qui tombaient du ciel étaient dignes des pluies tropicale de Ba Sing See avec peut être cette notion de "pluie chaud" en moins. C’était comme une seconde vague de gel sous un aspect différent. A cela ajouter le vent en colère et vous obteniez à peu près ce qu’il se tramait sur les terres de Republic City.

Par un temps pareil, mieux valait être au chaud sous un bon toit plutôt qu’affronter la nature déchaînée, cependant, quand les moyens vous en empêchent, cette opportunité n’est pas immédiate.
Cela faisait des semaines entieres que je n'avait pas posé pied sur les pavés froids d’une ville et à peu près autant de temps que je n’avais eut la chance, ou pas de croisé ne serrait se q'un seul individu. Ne pouvant rester dans la forêt pour cette nuit, j'avais besoin de manger quelque chose de consistant et de dormir au sec. Ces semaines d’isolement m'avaient complètement changé physiquement : nettement amaigri, mes traits renforcés me rendaient plus dur désormais et je n’osais plus me regarder dans les reflets de l’eau tant je m'effrayai moi-même. Cela avait fait de moi, en apparence quelqu’un de sévère et qui inspirait la crainte. Ce devait être ça qui me poussait à m’écarter d'une quelconque trace de civilisation.

Quoi qu’il en soit, je me dirigeai désormais vers les portes de la grande ville, pour quelqu’un qui voulait profiter de ses congés en solo c’était raté, mais j'y étai forcé par tout ces signes apparents. La terre était devenue boue, les chemins rivières et les arbres abris de fortune, c’était un déluge digne des premières semaines du printemps.

Emmitouflé dans ma toge comme je le pouvais, bien que celle-ci ne me protégeait qu’en apparence, avec ces passages difficile je progressai rapidement vers la cité. Les arbres semblaient vouloir s’arrêter net comme s’ils encerclaient un endroit précis, la coupure entre la prairie inondée et la forêt était à la limite du naturel, les jeunes arbres devant les grands formaient un dégradé de couleur d’un vert clair révélateur d’une ramure jeune jusqu’au vert sombre et pur montrant l’age avancé des centenaires. Comme pour se tenir à distance, par respect, comme s’ils ne se hissaient pas à la hauteur de ce qu’ils protégeaient, là, au centre de cette immense clairière : Republic-City. Jamais éteinte, toujours éclairée d’une lumière tamisée et douce, architecture soignée et parfaite. Là était la fier représentante d'un monde plus moderne.
Rien ne m’empêchait de me tenir là, contemplatif devant une telle beauté même par cette soirée, le vent me battait, la pluie me fouettait, et pourtant, je ne me rabattit pas vers les 2 grandes porte de la ville qui pourtant m'attiraient tant. Le silence qui en ressortait était presque anormal, aucun chant, aucune musique. Je repris ma marche en direction de la porte ouverte sur les rues de la cité avec ses résidences.

La pluie avait doublé de puissance et son débit également, il était tant d’aller trouver un toit. La plupart des citoyens fuyaient se mettre à l'abris, comme s’ils venaient tout juste de se rendre compte de la situation, tandis que plus rare certains maîtres de l'eau se servaient de leur maîtrise pour s'en protéger. Quand à moi, je me rendis à ce fameux restaurant cabaret des 3 délices que je n’eut d'ailleurs aucun mal à trouver. Des gens entraient et sortaient en masse et la bonne humeur régnait. Je me profita d’un couple pour me faufiler à l’intérieur et passer ainsi inaperçu. j'étai trempé et absolument pas présentable, mais j'avais confiance en moi. et cela m'avait jusqu'à maintenant toujours porter à bien. Marchant doucement vers le comptoir du restaurant remplie d’un brouhaha gargantuesque, une fois à distance respectable du serveur, je prit la parole :

    Plus j'y pense, plus je m'y perd. (Feat Kerya) ZenBonsoir... Une chambre s'il vous plait., Lui demandais-je aimablement... Je m'étais passer de lui tendre la main, tant la mienne et les vêtements qui la recouvraient étaient trempés.
    Zen
    - Mmm... Pas de bol pour toi gamin ! Ce soir on est complet, mais... si ca te dit, tu peux rester ici le temps que le temps ce calme., D'une main il m'intima de m’installer.

Je l'en remercia et prit alors place sur un petit banc dont la table était éclairée d’une bougie. Ôtant ma capuche détrempée, je déposa mon katana sur le bord de la banquette où je m'étais assit, A présent j'avais ainsi une vue imprenable sur l’ensemble de la salle et commença à détailler tour à tour chaque personne qui obstruait mon champ de vision.
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Kerya Pierce
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MessageSujet: Re: Plus j'y pense, plus je m'y perd. (Feat Kerya)   Plus j'y pense, plus je m'y perd. (Feat Kerya) EmptyLun 25 Juin - 14:25

    C’était mon premier jour en ville. Après avoir quitté le camp d’entrainement, je m’étais dirigé vers Republic City, car quoi de mieux qu’une grande ville pour se cacher ? Alors qu’il ne me restait plus que quelques kilomètres à parcourir pour atteindre la fameuse ville, il se mit à pleuvoir. Tout doucement d’abord puis de plus en plus. C’est dans ces moments-là que je me disais qu’être un maître de l’eau était vraiment pratique. J’avais d’abord pensé à m’arrêter dans un des villages qui bordent toujours les grandes villes, mais j’ai fini par y renoncer. J’étais trop près du but et trop impatiente pour m’arrêter là, et puis, ce n’était pas une petite pluie qui allait m’arrêter. Mais à mesure que je m’approchais de la ville, la pluie était de plus en plus forte, réduisant mon champ de vision. Ne voulant pas non plus trop me faire remarquer, j’avais réduis ma maîtrise sur ma seule personne. Je l’ai regretté lorsque je me suis pris les pieds dans une racine et que je me suis étalé dans le sol plein de boue. Maintenant j’étais trempée et sale. Bon, juste sale grâce à ma maîtrise.


    Mais j’ai finalement réussi à arriver devant les portes de la ville sans trop d’encombre. Mais le spectacle qui m’attendait était au-delà de mes espérances. C’était gigantesque, j’avais l’impression d’être une insignifiante fourmi qui pouvait se faire écraser à tout instant. J’avais le cœur qui battait la chamade. J’ai fini par entrer dans la ville. Enfin. J’ai déambulé un peu au hasard, je ne savais pas du tout ou aller, je ne savais même pas ce que je cherchais. Mais la fatigue a fini par avoir raison de moi et je me suis mise à la recherche d’un endroit pour me poser. Je suis tombée sur un cabaret. « Les 3 délices » indiquait l’enseigne. J’étais tellement fatiguée que je n’ai pas fait la difficile et je suis entrée. J’ai vite remarqué que j’étais une des rares clientes sèche, mais la boue sur mes vêtements me rendait aussi négligée que les autres. Je suis allée me renseigner auprès d’un serveur pour savoir s’il restait une chambre. Mais pas de chance, je n’étais pas la seule à chercher un abri pour la nuit. J’étais prête à partir, mais la fatigue était trop grande et je n’avais pas le courage de partir à la recherche d’un abri par ce temps. Je me suis dit qu’avec un peu de chance, la pluie finirait par s’arrêter et que je pourrais partir un la recherche d’une auberge. Je me suis donc assise à l’une des tables libres. Il n’en restait pas beaucoup.


    Les sièges étaient confortables, moelleux à souhait. Un peu plus et je pourrais m’endormir. C’était d’ailleurs ce que j’étais en train de faire lorsque j’ai remarqué un des clients qui me fixait, comme s’il voulait m’analyser. Troublée, j’ai fini par détourner le regard, espérant que l’inconnu cesserait de me regarder.


HRP - Comment tu fais pour que ton texte soit pas collé contre les bords de la page? - HRP
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Plus j'y pense, plus je m'y perd. (Feat Kerya)

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