JE SUIS Zenko SaamaMaître de la Terre En savoir plus Messages : 20 Date d'inscription : 23/06/2012 Age : 31 Localisation : Belgique - Liege
| Sujet: Au milieu des Pandas (Feat Ishiko) Dim 24 Juin - 15:47 | |
| « Au milieu des Pandas » Ishiko Kasai - Zenko Saama Lorsqu'il est libre, l'esprit est naturellement serein, de même que l'eau non agitée est par nature limpide et claire. « Loin de toute ville ou village habitable » ♫ Je me souviens d'une époque ou tout était plus facile, ou tout semblait être à porter de main. Les maîtres partaient au front... certains n'y survivaient pas, d'autre par contre avaient le privilège de revenir, mais bien-sure rare sont ceux qui en réchappèrent in-dème... A présent ce monde n'est plus, il fait sombre, froid, mais pire encore "Vide" ... plus de guerre, plus d'armée, plus rien... mise à part le doute et les regrets ! Si tu me permets j'aimerais te poser cette question As tu peur ? ... Oui ? Rassures toi, tu ne dois pas en avoir honte, au contraire sois en fier, ce sentiment existe pour te prouver que tu as la volonté de vivre... Tu aimerais savoir se que je fais ici ? et bin une tel question ne peut demeurer sans réponse... Se que je fais ? a vrai dire je n'en sais trop rien... peut être que je cherche à mon tour une explication à tous ces massacres ? je veux continuer... mais comment continuer sans motivation ? Seras tu me l'apporter, toi douce demoiselle allongé tes yeux fermés, c'est dans des moments comme çà que j'aimerais être télépathe, plus besoin de deviner, ca serait si facile... ♫ Ma silhouette se dessina peu à peu entre les épaisses tige de bambou... tu ne sembles pas m'avoir aperçut, mais ça ne saurait tardé... dans ma tunique usé, imbibé du sang des actes horribles d'antan, tapi dans l'ombre je t'observe, mes lèvres et le bout de mon nez dissimulé par une écharpe large au couleur bleutée... J'hésite encore sur la meilleur façon de t'aborder, toi l'inconnue... Les guerres sont pourtant terminé depuis un peu plus d'un ans déjà, mais les rancœurs persistent... Tu ne me sembles pas si étrangère, t'aurais je déjà vu ? Non impossible... mais pourtant ? Lentement, mes pas entreprennent la décante de cette parois rocheuse... En quelques secondes je me retrouve à une dizaine de pied de toi... il y a peu de temps avent, ma main avait entreprit de se poser sur le manche de mon katana, les veilles habitudes comme dirait l'autre... ces automates qui m'ont permit de rester en vie jusqu'à ce jour... Tu sembles si paisible, cela m'intrigue, j'aimerais savoir à quoi tu rêves ? ça doit surement être magnifique vu ce petit sourire qui s'affiche à présent sur ton délicieux visage... Tu me rend envieux, moi qui ne rêve pas... moi qui ne voit que dans mon repos un torrent de visage... ceux des victimes de mon sadisme, la paix intérieur vaut elle le prix de l'abstinence aux meurtres ? j'en doute... ce liquide épais aux couleur bordeaux ne me laisse guerre d'autre choix que de le gouter... Je suis un monstre, je le sais et je ne le nie pas... ♫ Je me déplace à nouveau d'un pas vers toi... Ma main gauche crispé.. es tu réellement endormie ou fais tu semblant ? Je me trouve à présent à porter de toi... il me serait si facile de t'offrir ce repos éternel... ne serait pas merveilleux ? mourir en dormant... ton calvaire ne durerait pas plus de trois ou quatre secondes, juste le temps de t'étouffer dans ton propre sang... Ce ne serait pas la première fois. Ta peau semble si douce, j'aimerais mais je ne puis la touché au risque de te sortir de cette torpeur. Ça m'étonne, mais la douleur à présent a laisser place à une sourire plein de tristesse sur mon jeune visage. Quel insouciance je ressent en toi. | Bonsoir, Murmurais je. Quelle belle soirée étoilé n'est se pas ? Repris je à nouveau, sans pour autant le penser
Zen♣ |
♫ Ma main se serra un peu plus autour de mon katana et mon autre main se décrispa lentement, prêt à utiliser ma maîtrise à tout moment... comme je l'ai dit plus haut, ce sont les veilles habitudes qui nous empêchent de se faire tuer prématurément... Les palpitations de mon cœur s’accéléraient lentement, peut être est-se du au fait que presque 2mois se sont écoulés sans que je ne croise ne serrait se qu'une seul personne... même si tu ne peux pas l'entendre saches que je suis heureux de croiser quelqu'un tel que toi au milieu de cette forêt sauvage, loin de tout village du pays de la terre. < Tu es comme moi... Pourtant nous sommes si différent. > |
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JE SUIS Ishiko KasaiMaître de la Terre En savoir plus Messages : 53 Date d'inscription : 15/06/2012 Age : 26 Localisation : Haha, petit coquin.
| Sujet: Re: Au milieu des Pandas (Feat Ishiko) Ven 29 Juin - 10:20 | |
| Un rêve où tout deviens beau, où il n'y a plus aucun problèmes, là où tout le monde s'entend bien et s'aime. Ça, s'était le monde parfait qui fait naître un sourire aux lèvres de n'importe qui, qui vois ce monde de ses propres yeux, de son point de vue personnel. Mais la perfection n'existe pas. Et lorsque l'on ouvre les yeux et qu'on se rend compte que ce n'était finalement qu'un rêve, on est déçus. Particulièrement si c'est quelqu'un qui vous a sortit de votre monde parfait pourtant éternellement et tristement inexistant. C'est cette voix qui a fait redescendre Ishiko sur Terre:
- Bonsoir. Quelle belle soirée étoilé n'est se pas ?
La earthbender ouvrit les yeux tranquillement, en prenant son temps pour être bien sûre qu'elle ne rêvait pas encore. Lorsqu'elle eu les yeux bien ouverts, elle tourna la tête vers la source de cette voix: un jeune homme... plutôt mignon, avouons-le. Vu sa peau basanée et ses yeux magnifiquement bleus, vu son manteau... Ishi' en conclu qu'il était maître de l'eau. Un instant surprise, en particulier à cause du katana, Okay' se redressa et s'adossa au tronc du saule pleureur. C'était à ses pieds qu'elle s'était endormie et heureusement, au même endroit elle s'était réveillée. La jeune fille adressa un sourire au jeune homme devant elle après avoir regardé le ciel illuminé par des millier d'étoiles scintillantes.
- En effet, elle est très belle.
...Roucoula-t-elle sans vraiment le penser. Il était vrai que ce paysage était féerique, mais pas au point de rester là, à l'admirer jusqu'à ce que sommeil s'en suive. Non, Ishiko ne pensait pas ce qu'elle disait, mais elle laissait paraître le contraire. |
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